Martin Steinegger pour la Suisse alémanique et Stéphanie Mérillat pour note Romandie incarnent le parfait duo complémentaire qui, au-delà des résultats sportifs, ont façonné l'image positive et sans arrogance que dégage le HC Bienne et dont quelques clubs pourraient s'inspirer.

C'est ce que relève le quotidien Le Temps qui consacre aujourd'hui un portrait au premier nommé sous le titre que j'ai repris, dirigeant que l'on a donc moins l'occasion d'entendre dans notre petit coin de pays, article que je vous invite à lire.

Et c'est peut-être la seconde nommée qui en parle le mieux : « Il est ambitieux, mais aussi très terre à terre. Il respecte notre sagesse financière et ses demandes sont concrètes et raisonnables. Même s’il nous a proposé d’avoir deux gardiens premium l’année prochaine… Nous avons accepté » explique Mme Mérillat avec le sourire.

Une thématique de l'article est sur l'idée qu'il devienne un jour coach, lui qui l'a brièvement été entre novembre et décembre 2017 dans les circonstances que l'on se rappelle. À cette question Steinegger répond : « Le temps est contre moi et j’ai trouvé la paix intérieure avec ce que je fais actuellement. »