Les aspirations très précoces de Jan Cadieux à devenir coach

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  • Posté par dam, le :

    10/12/2023
Photo: Spengler Cup

Paul-André et Jan Cadieux se livrent longuement dans le magazine de la Coupe Spengler, dont voici quelques anecdotes.

Sur son enfance :

Jan Cadieux : Le dimanche matin, le rituel consistait à s'asseoir devant la télévision avec mon père et à analyser les matchs de la veille à l'aide de cassettes vidéo VHS. Nous nous asseyions toujours côte à côte et passions en revue les matches du samedi. C'est à ce moment-là que ma carrière de coach a commencé. Au début, je ne faisais que regarder et je ne comprenais pas grand-chose. Mais j'ai beaucoup appris et j'en profite encore aujourd'hui.

Aujourd'hui encore, analysez-vous les matches ensemble ?

Jan Cadieux : Quand j'étais joueur, j'avais toujours deux coachs : un dans l'équipe et un autre à la maison. Aujourd'hui, mon père a pris du recul.

P.-A. Cadieux : Jan a ses propres idées et il doit les mettre en œuvre.

Suivre les traces de son père ? Jan Cadieux : Quand j'étais petit, mon père était une idole pour moi. Je ne l'ai pas beaucoup vu jouer, mais pour moi, c'était clair : je voulais être comme mon père. La question de faire autre chose ne s'est jamais posée pour moi. Mais mon père m'aurait aussi soutenu si j'étais devenu footballeur ou tennisman. La seule chose qui lui importait était que je me donne toujours à 100 % dans ce que je faisais.

Qu'admirez-vous chez votre père, respectivement chez votre fils ?

Jan Cadieux : J'admire mon père pour tout ce qu'il a fait pour moi et qu'il m'a transmis, ainsi que pour sa carrière. Il a été joueur et entraîneur dans 12 stations et a connu le succès presque partout. Je dis toujours que mon père était un meilleur joueur de hockey que moi, alors je vais essayer de devenir un meilleur entraîneur. Mais ce ne sera pas facile. Mais ce qui est décisif, c'est surtout l'amour du hockey sur glace qu'il a partagé avec moi.

P.-A. Cadieux : Jan travaille dur. En tant que joueur, il était comme moi de petite taille, mais il avait une très grande volonté.

Vous pouvez lire l'interview au complet (en allemand) par ici