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Posté par dam, le :
02/06/2015
Interviewé par la Tribune de Genève, Chris McSorley y va d'un bel élan d'optimisme et balaie toutes les craintes que la faillite du Servette aurait pu engendrer. Pas de soucis entre lui et son Président : "Les Genevois doivent aussi se souvenir de ce qu’il a fait pour Ge/Servette. Rappelez-vous en 2005, l’équipe était pratiquement morte. Hugh est arrivé quelques mois plus tard et regardez aujourd’hui la situation du GSHC: saine et performante au plus haut niveau. En ce qui me concerne, Hugh a toute ma sympathie et ma confiance. Rien de ce qui se passe avec Servette ne peut entacher notre collaboration au GSHC…».
Il ne croit pas non plus que Quennec ait pu se servir dans le caisses du GSHC pour aider le club de foot (on parle de 1.5 million) «Hugh Quennec ne mettrait jamais en péril le destin du GSHC pour tenter de sauver le SFC». Et à la question du dommage vis à vis des sponsors communs, il botte en touche et rebondit de façon opportune : «On constate que l’on ne peut pas y arriver aujourd’hui sans les infrastructures sportives nécessaires à la bonne promotion de nos sports à Genève, remarque le boss des Vernets. C’ est pourquoi aujourd’hui je tire la sonnette d’alarme, notamment en ce qui concerne Ge/Servette: les autorités doivent se rendre compte qu’il est impératif de valider avant 2018 un projet viable pour la construction d’une nouvelle patinoire, sans quoi obtenir la licence pour les hockeyeurs sera également de plus en plus difficile dans le futur…».
Reste à espérer que la situation réelle soit aussi positive que ces déclarations de circonstance; et pour terminer sur un aspect sportif, McSorley au sujet de la venue de Fransson «Cela faisait douze mois que j’essayais de l’attirer à Genève. C’est un défenseur intelligent avec une excellente vision de jeu.»