Travailler dans le cadre du HC Lugano n'a jamais été chose facile avec des propriétaires qui ont toujours pris plus de place qu'ailleurs à tous les échelons du club, mais les choses ont sans doute changé.

Et l'indépendance, c'est bien entendu ce qu'a demandé Janick Steinmann avant de s'engager avec le club tessinois il y a moins d'un mois (lire ici).

Ses premières décisions semblent prouver que le message est passé (lire ici), il lui reste cependant beaucoup de pain sur la planche comme il l'explique au Corriere del Ticino. Avec cependant un contexte particulier qui va le changer du cadre de Rapperswil mais pas dans sa philosophie : « L’indépendance est au cœur de ma personnalité, pas seulement dans ma profession. C’était ma principale exigence auprès du club : sans garanties en ce sens, je ne serais pas ici. Et si cela devait changer, je partirais immédiatement. C’est ainsi que j’ai travaillé à Rapperswil. Je ne veux pas savoir ce qui s’est passé à Lugano par le passé, mais je veux être celui qui prend les décisions sportives. On m’a promis que ce serait le cas, et j’y crois : Vicky Mantegazza et Marco Werder sont des personnes de cœur. Sans la présidente, ce club n’existerait peut-être plus »