Au risque de froisser son nouvel employeur, le Finlandais vise une autre marque de luxe de notre pays.
Plus que le côté people, cet article est pour mettre en exergue que depuis sa signature à Genève, Puljujärvi est très suivi par les médias finlandais, sans doute plus que ses précédents compatriotes.
Bref, aujourd'hui, il est question de montre dans le quotidien Iltalehti de passage à Genève qui relève que contrairement à certains de ses coéquipiers, il n’arbore pas de montre de luxe. « J’ai déjà dit que je n’achèterai une montre que quand je pourrai m’offrir une Richard Mille, tu vois ? Mais au final, je crois que ça n’arrivera jamais. Elles coûtent trop cher. Je n’ai pas craqué pour ça, pas encore » explique-t-il.
Le média qui précise que les prix de cette marque débutent à 70 000 euros et peuvent dépasser les trois millions, mais rappelle que le joueur a aussi engrangé durant ses huit saisons incomplètes en NHL près de 13 millions de dollars et qu'à Genève, son salaire net avoisinerait les 300 000 euros par saison. Et dans un autre domaine, le nouveau citoyen genevois est maintenant un adepte du vélo.
Mais revenons tout de même au côté sportif, car ce retour sur le Vieux Continent lui ouvre également la porte de la sélection nationale, aussi bien pour les tournois de l’Euro Hockey Tour que pour le Championnat du monde au printemps.
« Bien sûr que ça m’intéresse. Si on a besoin de moi, je suis prêt à répondre présent et à apporter mes qualités ». Concernant ses relations avec le sélectionneur Antti Pennanen, Puljujärvi se veut rassurant : « Ça va, oui. Je l’ai croisé il y a quelques jours. Il est venu voir nos matchs contre Fribourg et Zurich. On a un peu discuté, je ne pense pas qu’il ait quoi que ce soit contre moi. »
L'occasion également de parler de son avenir et d'un éventuel intérêt de la KHL, Puljujärvi est alors catégorique. Malgré des salaires attractifs, l’attaquant de 27 ans assure qu’il n’est plus question pour lui d’y aller : « Je n’ai rien entendu de là-bas depuis des années. Et de toute façon, dans les conditions actuelles, je n’irai jamais. »