Gaudenz Domenig se lâche quelque peu, car si la situation sportive et idéale, celle financière continue également à croître
« Nous avons réussi à croître de manière continue. Financièrement, nous ne jouons pas dans la cour des grands, mais nous nous situons dans la classe moyenne supérieure. » explique-t-il à la NZZ
Puis il égrène les chiffres : le chiffre d’affaires atteint désormais 34 millions de francs, dont 1,5 million provenant uniquement du merchandising. Le « Kristall-Club », un cercle exclusif d’investisseurs aisés de la région, compte 60 membres qui versent chacun un droit d’adhésion annuel de 30 000 francs. La Spengler-Cup, véritable élixir de vie du club, injecte chaque année un peu plus de deux millions de francs dans les caisses.
Et selon le média, son joueur phare, Matej Stransky, est l’un des plus coûteux de la ligue, avec un salaire net avoisinant les 300 000 francs (doublez pour avoir le brut).
